Mizuki Yoshida

“ La naïveté est une façon de vivre intelligemment le présent ”

identity card NOM : Yoshida PRENOM : Mizuki AGE : 21 ans NATIONALITE : Japonaise CLASSE ET SPECIALISATION : Deuxième année & Psychologie ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle GROUPE : Étudiants AVATAR : Erika Toda CARATERE : Rigolote – Douce – Naïve – Ouverte - Aimable

QUE PENSEZ VOUS DE LA GUERRE DES NATIONALITES : (Votre personnage)
[ ] A mort les Japonais [x] A mort les Coréens [ ] A mort les Japonais et les Coréens

your story Mizuki est née le 1er mars 1991 à Tokyo en tant que première et unique fille de la famille Yoshida. Le moins que l’on puisse dire, c’était qu’elle ne manquait de rien. En effet, elle était l’enfant chérie de deux comédiens dont la renommée n’était plus à faire. L’argent n’était donc pas un problème pour accorder à la petite tout ce qu’il lui fallait. En revanche, être présent était plus difficile. Étant systématiquement sur les routes pour jouer dans tout le Japon, ils partaient parfois pendant des semaines sans revoir Mizuki. En ce temps, c’était donc une nounou qui s’occupait d’elle, lui apportant l’affection nécessaire lorsqu’ils étaient absents. D’autre part, quand ils rentraient, ils étaient tellement joyeux de la revoir que les retrouvailles pouvaient durer une bonne demi-heure. Il allait sans dire qu’ils essayaient de compenser leur absence le mieux possible, ce qui ne manquait pas de plaire à leur trésor chéri. Il y avait néanmoins un autre inconvénient à la célébrité : la difficulté à rester anonyme. Il se trouvait que les époux Yoshida pouvaient difficilement passer inaperçus en ville. Combien de fois se faisaient-ils arrêtés pour signer des autographes ? Combien de photos avaient été prises lors de sorties en famille ? Ils ne les comptaient plus et tâchaient tant bien que mal de protéger Mizuki des flashs indésirables. Elle ne pouvait pas donc pas sortir sans une capuche sur la tête ou bien une écharpe excessivement remontée jusqu’à son petit nez. Les seuls moments où ils étaient tranquilles, c’était quand ils partaient en vacances à l’étranger, là où on ne viendrait pas les importuner. Néanmoins, surmonter ce problème n’était pas aussi simple, le fuir suffisait peu à leur faire garder un minimum de sang-froid. Faire comme si de rien n’était était toujours un peu plus dur à chaque sortie. Jusqu’au jour où cela tourna mal. Comme d’habitude, ils faisaient une sortie en famille dans Tokyo, essayant de passer le plus inaperçu possible avec leur petite fille de six ans. Une fois de plus, les paparazzi étaient au rendez-vous et ne manquèrent pas de tirer des clichés de ce beau portrait familial. Mais voilà, l’un d’eux décida de ne pas se contenter de visages cachés par des lunettes de soleil et d’une gamine dont personne ne connaissait le visage. Alors, il essaya d’aller photographier la jolie bouille de Mizuki à découvert, afin de fournir un des meilleurs scoops du moment. Évidemment, les parents n’étaient pas de cet avis et tentèrent de repousser l’indésirable. Or, ce dernier était très persistant et bien déterminé à obtenir son cliché. Il tira inconsciemment sur l’écharpe de la petite pour la lui enlever, ne prenant pas compte de la foule amassée autour d’eux. Ce fut la première crise de Mizuki. L’enfant souffrait d’insuffisance respiratoire et face à la panique générale, cela ne manqua pas de tourner quasiment à la catastrophe. Catastrophés, les parents l’emmenèrent immédiatement à l’hôpital, où on parvint à la calmer. Néanmoins, ce traumatisme demeura et ils décidèrent d’accord comme un accord de ne plus jamais renouveler quelconque sortie, pour le bien de leur fille. Elle devait grandir comme toute enfant en dehors de cette folie médiatique. Dès lors, elle ne les revit que rarement, quand ils ne travaillaient et ne sortit plus jamais avec eux. Non, quand elle sortait, désormais c’était uniquement avec la nounou, Maya, qui était entièrement digne de confiance. Elle prit grandement soin de Mizuki et veilla bien à ce que rien ne lui arrive. Bon nombre de crises ont pu être calmées sans aller aux urgences grâce à elle et encore aujourd’hui, elle lui en est reconnaissante. Car seule, il allait de soi qu’elle n’aurait peut-être jamais su s’en sortir. Même si sa maladie lui causait bien des soucis. Elle ne pouvait pas faire de sport ni trop s’épuiser. Quand ses camarades couraient ou jouaient ensemble, elle restait seule sur le banc à les regarder, sans pouvoir même espérer s’amuser avec eux un jour. De toute façon, elle n’aurait jamais osé le leur demander : Mizuki était trop timide pour essayer de s’intégrer à un groupe. Un peu trop renfermée sur elle-même, alors qu’elle ne se méfiait pas particulièrement des gens. Mais elle avait plus ou moins peur de les contaminer avec sa maladie. Car il y avait des mauvaises langues, comme il y en a partout, pour aller lui dire qu’elle pouvait être dangereuse pour les autres. Des gens de sa classe n’ont ainsi pas hésité à lui dire qu’elle ne devait pas trop s’approcher d’eux pour cette raison. Alors, elle ne voulait pas faire du mal aux autres et resta à l’écart. Même après, lorsqu’elle eut l’âge de comprendre que c’était impossible, elle n’osa pas aller vers eux. Elle resta par ailleurs très timide jusqu’à intégrer Ayes University. Ce sont ses parents qui lui ont recommandé cette université, jugeant cela comme étant un très bon moyen d’ouvrir davantage leur fille sur le monde. Et puis, la présence de Coréens permettrait à ce qu’elle fonde davantage dans la masse non ? Elle n’y croyait à vrai dire pas tellement mais peu importe. Une université était une université après tout. Elle découvrit néanmoins peu après que cette université avait une originalité peu commune : ici les Japonais et les Coréens ne pouvaient pas se voir et se faisaient ouvertement la guerre. Cela l’avait surprise c’était sûr : pourquoi ne pouvaient-ils pas s’entendre ? En tout cas, elle resta tout autant enfermée. Du moins, pendant un certain laps de temps. En effet, la demoiselle fit une rencontre bouleversante : Ikeda Eiichi, l’un des six Japan Kings. Il l’aida considérablement alors qu’elle faisait une crise et ce fut ainsi qu’elle prit confiance en elle et devint plus ouverte aux autres. Elle a pu se forger son petit caractère et gagner en assurance face aux autres élèves, grâce à lui. Il va de soi qu’elle lui en est très reconnaissante. Sa maladie devint plus facile à supporter et elle prit même un certain plaisir à aller encourager les footballeurs dans les gradins, même si elle ne peut pas jouer les cheerleaders. Aujourd’hui, Mizuki a des amis et sait se défendre contre ceux qui voudraient l’embêter. Elle est devenue indépendante et ne se préoccupe pas de l’importance que peuvent porter les gens à la renommée de ses parents. Vu qu’elle ne vit plus avec ces derniers, elle a d’ailleurs pu s’acheter des animaux pour se tenir compagnie, car elle rêvait d’en avoir depuis toujours. Elle a entre autre un chat tigré, un labrador et un perroquet dont elle s’occupe affectueusement dès qu’elle en a le temps. Sérieuse, elle ne manque bien sûr pas de travailler, ne pouvant toujours pas faire de sport. Pour ce qui est de la guerre Japonais/Coréens, elle ne s’implique pas trop mais bon, elle fait confiance à Eiichi et puis, elle n’oublie pas non plus qu’un coréen a voulu faire d’elle une ijime. Elle n’a donc pas une très bonne image d’eux.

in real life PSEUDO : Juh AGE 17 ans CONNEXION 7 ou 6 fois sur 7 OU AS-TU TROUVE LE FORUM ? Grâce à Kanzaki Kyohei \o/ UN COMMENTAIRE ? Je trouve le contexte trèèès intéressant 8D